Mis au secret le temps d’une enquête de l’IGPN, et pour mieux subir les pressions policières, ce n’est que 15 jours après la manifestation que nous avons pu établir le contact avec Pascal. Son état reste très préoccupant, et il va avoir besoin de solidarité pour obtenir des réparations, et que la vérité sur la violence policière soit établie.