(source : http://clandestinenglish.wordpress.com 02/01/09 traduction de Futur Rouge (attention article traduit du Grec en Anglais puis de l’Anglais en Français))

Occupation du Centre des syndicats de Thessalonique (texte de l’assemblée du Dec.30)

“Nous occupons aujourd’hui le Centre de Syndicats Thessaloniki pour nous opposer à l’oppression qui se manifeste par des meurtres et le terrorisme contre les travailleurs. Nous occupons le Centre des Syndicats et entravons son administration ; nous n’empêchons pas les travaux des « syndicats de 1e degré »; loin de cela, nous faisons appel aux travailleurs pour rejoindre cette lutte commune

Aujourd’hui [le 29 décembre] l’assemblée ouverte des individus du Centre des Syndicats occupés qui sont de milieux politiques différents, des syndicalistes, étudiants, immigrés et des camarades de l’étranger ont adopté cette décision commune

– Continuer l’occupation

– Organiser un rassemblement en solidarité avec K.Kuneva devant le Centre le 31 décembre, à 12 heures.

– Organiser des actions d’informations et de prise de conscience dans les environs de la ville

– Organiser un concert dans le Centre pour récolter de l’argent pour Konstantina

– Avoir un Jour de l’an de lutte dans le Centre, avec un rassemblement à 18.00.

La première déclaration de l’Occupation (le 29 décembre)

Confronté à la violence et l’oppression dirigée contre les luttes des travailleurs et à la couverte mais non moins hostile Mafia, comme au machinations des employeurs, les Syndicats contrôlés par les Centres de Syndicats à travers le pays, parmi eux le Thessaloniki one, ne font rien mais bégayent un « nous essayont de manière démocratique de réalisé la pleine parité sociales et économique pour nos membres et les autre travailleurs » comme le dit leurs documents

Le même document continue :“ les Centres de Syndicats grecs ont été fondés pour unir les unions d’ouvriers locaux et ainsi protéger les intérêts économiques, professionnels et sociaux de leurs membres. Sur la base de ces intérêts professionnels et sociaux, les représentants de Centres de Syndicats se battent pour de plus hauts salaires et une meilleure vie et des conditions de travail”. Nulle part dans ce document il n’est fait référence aux causes de l’inégalité et de la misère et des structures de hiérarchie dans la société. Leur orientation est manifestement l’opportuniste et dirigé vers une “amélioration” vague des conditions d’exploitation; dans ce sens, le soi-disant “mouvement de syndicat organisé” et ses directeurs sont des complices fondamentaux dans le prolongement de l’oppression, la suppression des mouvements d’ouvriers syndicalistes, en instaurant une logique de “tri” des revendications

Des demandes inutiles et partielles, qui, à en juger par leurs effets, sont en dernière instance, dommageable pour la vie des travailleurs: la vie des travailleurs ne s’améliore pas, mais se détériore de manière significative. Précarité, «flexibilité» des relations de travail, “travail intérimaire” de travailleurs, et pas de véritable réaction contre les crimes qui les patrons appellent «les accidents du travail” …

Le mouvement syndicale grec fragmenté ne peut pas aller et n’ira pas contre les gouvernements et les partis politiques, et ceci à un cause d’un clientélisme mécanique ou ils se complètent les uns les autres dans la prolongation du pouvoir et de l’inégalité

L’exemple de cela est le cas maintenant ordinaire de directeurs syndicalistes ayant réussis leur carrière syndicalistes et qui profite de cela pour avoir une position au gouvernement, au sein d’un cabinet ministérielle ou dans des organismes de consultations d’entreprises.

Les Confédérations Générales et les Centres de Syndicats en Grèce sont intrinsèquement maintenant partie prenante dans le régime au pouvoir; leurs membres de base et les ouvriers doivent leur tourner le dos, et choisir la voix des syndicats indépendants pour la création d’un pôle autonome de lutte dirigée par eux, au-delà des partis et des mécanismes.

Le Centre de Syndicats de Thessalonique est le deuxième en Grèce. Sa circonscription électorale inclut 275 unions de degré dans la Préfecture de Thessalonique et la Région de la Macédoine Centrale. Le Centre représente apparemment 350.000 travailleurs dont 300.000 travail dans la ville de Thessalonique. Quelqu’un a-t-il déjà vue ne serait-ce que 100.000 d’entre eux dans les rues pour revendiquer quelque chose ? Jamais! Pourquoi il en est ainsi ? C’est simple : les travailleurs eux-mêmes savent très bien que dans l’appel de Centres de Syndicat, ils ne jouent vraiment rien qu’un jeu d’organisation de la direction du Centre.

Si les travailleurs réalise leur pouvoir et casse la logique d’être représenté par les complices des patrons, ils retrouveront leur confiance et des milliers d’entre eux rempliront les rues à la prochaine grève..

L’état et ses gros bras assassinent des gens

La résistance – auto-organisation – luttes – auto-défense sociale –

Solidarité avec les immigrés et Konstantina Kuneva