La LDH s’interroge sur cette prétendue neutralité fort sélective, et sur le rapport entre une régie commerciale toujours ouverte au plus offrant et les obligations de service public derrière lesquelles Métrobus se réfugie abusivement. En refusant l’affiche de « Courrier international », la régie publicitaire de la RATP se comporte comme une instance subordonnée qui se porte au secours de son maître.

La LDH rappelle qu’en République un excès de critiques est toujours préférable à une censure.