EXPLOITATION ET ABUS DE FAIBLESSE CHEZ LECLERC

Etants salarié-E-s et ex salarié-E-s de chez Leclerc et d’autres supermarchés, nous souhaiterions que ce tract soit le plus diffusé surtout dans les divers grandes enseignes , nous denoncons les pratiques esclavagistes de Leclerc : par exemple beaucoup de salariéEs de Leclerc ne sont pas embaucher par Leclerc même mais par par des boites d’interim de sous-traitance, permetant à Leclerc ( et autres entreprises avec ce genre de pratique) de se dérober au droit du travail et au respect des salariées, (heures sups non payés, horaires changeant à la dernier minute afin d’empecher volontairement les salariéEs d’avoir une vie social et un activisme politique , mais toujours avec des horaires tels qu’ils ne peuvent pas se croiser avant ou apres le taf , ( cela s’appelle l’individualisation des salariéEs) cadences infernals : le grand truc de Leclerc par exemple c’est de donner à faire une tache necessitant 5 heures de travail , à faire en 3 heures , le salariéEs n’est payés toutes ces heures et est en plus rendus responsable de sa « lenteur »
la direction joue la rivalité entre « nouveaux » embauchés en sous traitance / CDDs et « anciens  » embauchés avant.

La direction monte les salarié-E-s les uns contre les autres: lorsque un salariéEs va trop lentement , le chef de rayon a pour consigne d’engueler aussi les autres salariéEs afin que ceux ci metent la pression à leur collegues.

Une autres des techniques est d’embaucher uniquement des « blancs » pour les emplois tels ques la mise en rayon ( ou la possiblité et la tentaion de vol est importantes) , et que des Noirs ou rebeus pour les emplois de vigiles ( dont la tache est de surveiller les clients et aussi les autres salariéEs) , tout en sachant que les salarié-E-s surveillés ont toujours un ressentit negatif envers leurs « surveillants
une pratique de Management idéal pour créer des tensions « ethniques » entre les salarié-E-s.

Les « codes vestimentaires » à avoir ne sont pas les meme suivant que l’on soit un homme ou une femme ainsi par exemple une femme en jean serat récrimandé mais pas un homme dans la meme tenus.
Les petits chefs de rayons sont encourégs à deverser leurs haines sexistes sur les SalariéEs femmes ou éffeminés .

Tout un tas de divers discriminations ( racistes, sexiste ect..) qui divisent les salarié-E-s entre eux, avec des regles différentes suivant, le groupe ethnique , le sexe, l’habilité manuelle, la durée au sein de l’entreprise….
Toutes ces techniques ne sont pas uniques à Leclerc aux contraire, ce sont les nouvelles regles de management.

Pas besoin de lire ce tract pour savoir les conditions de tafs dans la grande distrib est pourrit, malgre cela les directions nous font signés dans notre contrat que nous ne dirons rien du fonctionement interne de l’entreprise sans quoi nous pouvons etre poursuivit pour « diffamation » , et pour « divulgations de secrets professionels » , Leclerc et autres grandes entreprises du meme type ( Fnac macdo..) veulent tellement passer pour une entreprise « social, anti-raciste, anti-sexiste, soucieuse des pauvres.. » que le seul fait de placer ce tract nous mets dans l’illégalité la plus total.
Actuellement le gouvernement veut « transformer  » 160 lois du codes du travails en « decrets » afin de faciliter leurs supressions, ( la supression de décrets peut se faire sans passer par un vote à l’assemblé). Par ailleurs face à la baisse du pouvoir d’achat , on ne nous propose que de sacrifier encore plus nos vies socials.
Notre condition est fruit d’une logique politique: les richesses existent, mais leur répartition est inéquitable,notre pauvreté n’est pas une fatalité, mais la conséquence de l’enrichissement démesuré d’une petite partie de la société . (ainsi l’année derniere le patron de LVMH, grande entreprise francaise a touché 22000 fois le smic) .
Nous les précaires sommes toujours plus nombreuses/eux à vivre dans la logique destructrice du «Perds ta vie à la gagner»à vivre avec des salaires et des horaires de merdes , à passer de petits boulots en petits boulots rendant la lutte syndicale dans sa forme « traditionelle » impossible, nous devons creer d’autres facons de lutter, des syndicats qui ne dépendent pas juste de tels ou tels entreprise ou branche professionel mais regroupent tout les précaires, organisés sur des bases géographiques par exemple;les syndicats reformistes ne nous permetent pas à ceux qui changent d’horaire et de travail régulierement , de lutter, c’est pourquoi nous ne devons pas avoir peur de résister et de s’unir, meme de façon discrete et ponctuelle partout ou nous allons, sur nos lieux de travail entre autres… salariéEs de Mac do, de la fnac, , votre situation n’est pas unique,mais nous avons maintes fois constaté qu’à plusieurs, déterminé(e)s, nous pouvons faire évoluer bien des choses(comme sur le CPE par exemple) alors que seul(e)s… la tâche est insurmontable //