Pendant ce temps, plus de 40 citoyens, 167 soldats et plus de 200 membres du Fatah al-Islam ont été tué. 30, 000 réfugiés ont été déplacé. Lors de la date officielle de l’arrêt du combat, du début septembre jusqu’au 10 octobre le camp était sous contrôle exclusif de l’armée libanaise.

Lorsqu’une partie du camp a été réouverte et que les 1000 premières familles sont retournées à Nahr al-Bared,elles sont retournées dans des maisons brûlées, pillées et vandalisées. Des témoins ont attesté de ce qui était devenu un schéma systématique des mise à feu et des pillages.
Dans de nombreuses maisons du camp, des graffitis racistes ont été peint et signé au nom de plusieurs groupes de commandos de l’armée libanaise.

Aucune investigation militaire ou indépendante n’a été effectué, Amnesty International a écrit au gouvernement Libanais, appelant à initier les investigations nécessaires afin que les responsables rendent compte de leurs actes.

L’entrée au camp a été refusée aux journalistes ainsi qu’aux organisations de droits de l’homme.

Le film peut être vu ici en qualité moyenne à youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=XR79XymL44E

Le court-métrage est ici téléchargeable en haute qualité:
http://www.archive.org/details/bared_pillage_mov

Contact: nahralbared[at]riseup[dot]net

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