Le Figaro. « Airbus: les syndicats annoncent une mobilisation massive »

Libération « Présidentielle. Toulouse Berlin via Paris avec Airbus ».

TF1, « Journée de mobilisation nationale chez Airbus »

OUEST France, « Villepin verrait bien l’État soutenir Airbus »

RFI « Airbus. Les candidats à la queue leu-leu »

Le Monde, « Journée de grève et de manifestations chez Airbus France ».

Il y a, bien sur, un problème d’embauche et de pouvoir français dans le marché. Tel que je vous connais, à travers vos lettres a votre maire Mamère ou votants au premier tour des présidentielles pour José Bové, respectivement http://www.ftaaimc.org/en/2006/01/7194.shtml et http://estrecho.indymedia.org/newswire/display/67547/index.php vous ne tomberez dans le mythe de l’exception française mais vous considérez, tout de même, qu’il faut défendre l’emplois et le rapport de force de France dans une entreprise qui a un grand potentiel de marché.

J’avoue que je ressentirai de même si le cas se produisait au Royaume Uni. Or, n’étant directement impliquée, je peux me permettre de perspectives qui vous manquent et de vous suggérer des alternatives à la méthode qui nous a été proposée par madame Maigret : http://www.webs.ulpgc.es/agora/comAsig1.htm

L’actualité française qui nous est racontée par les média les plus impactants dans l’opinion française est une conspiration pour nous empêcher de voir les urgences de résistance. Nous ne sommes pas que lupus homini. Nous pouvons confronter les défis ensemble, qu’elle reconversion ? Pourquoi ? Pour qui ? Nous ne sommes Français, Allemands, Espagnols… Nous nous confrontons, tous, à un modèle impératif de développement qui nous conduit à l’État d’alerte où nous sommes. Ce dernier est bien explicite dans les articles qui complètent la liste des neuf grands de l’opinion française :

YAHOO Actualités, « Le corps d’un enfant de trois ans retrouvé près de Valence »

Le Parisien. « Des solutions contre la violence scolaire » :

ENDÉMIQUE depuis une quinzaine d’années, la violence scolaire est désormais au coeur de la politique éducative. Mais de plans en circulaires, les mesures s’empilent dans la confusion, à tel point que plus grand monde ne sait exactement ce qui est mis en oeuvre pour lutter contre ce fléau persistant. Or, comme nous l’apprenons certains pays étrangers ou des expériences locales en France, il n’y a pas de fatalité.