en attendant une date de réunion publique pour nous les amoureux de trentemoult et de la ville préservée d’industries bruyantes, polluantes et dangereuses je vous communique les dates de présence légales du commissaire de l’enquète publique :
à la mairie annexe de nantes bellevue place des lauriers (ou le dossier de l’enquète est déposé comme à rezé, bouguenais et saint herblain. Donc Monsieur Raymon Telle, commissaire enquéteur reçoit le public à bellevue les :
– mardi 20 fevrier (today !)de 14h à 17 h
– le jeudi 1er mars de 14h à 17h
– le mercredi 7 mars de 14h à 17 h
– le mercredi 14 mars de 14 h à 17 h
Il reçoit les observations du public…. A nous de jouer…. voir le message suivant
Pour le film cherchez geantdefer sur youtube.com ou sur dailymotion.com
pour la réunion qui s’est déroulée hier soir à la guinguette de trentemoult une bonne vingtaine de personne étaitent présente dont des representants des association environnement et de la municipalite de bouguenais nous avons convenu de nous retrouver devant le commissaire enqueteur le mercredi 7 mars à 15h place des lauriers à la mairie annexe de nantes bellevue pour noter nos remarques dans le registre…la presse sera là
Beaucoup d’incohérence dans ce dossier, beaucoup de mauvaises procedures (aucun registres à bouguenais et rezé, aucune appréciation de nantes st nazaire metropole et des installation qui fonctionne d’ortes et deja dans l’estuaire et qui font de ce projet un non sens économique… tellement de choses a se dégouter du politique mais à se donner des ailes pour lutter au nom de notre sécurité et de celles de nos enfants….
RENDEZ VOUS MERCREDI 7 MARS A LA MAIRIE ANNEXE DE NANTES BELLEVUE (PLACE DES LAURIERS, ARRET TRAM LAURIERS) A 15 HEURES.
Bonjour, suite à notre réunion de vendredi dernier voici les deux liens
http://www.dailymotion.com/GEANTDEFER
http://www.youtube.com/profile?user=GEANTDEFER
où vous pourrez voir les deux videos que j’ai ajouté à celle de trentemoult sur ferraille
COMPTE TENU DU MANQUE D’AFFICHAGE LEGAL DE L’ENQUÈTE PUBLIQUE, NOUS AVONS TROUVÉ CELA DANS LES REGLEMENTATIONS EN VIGUEUR :
Extraits du décret du 21 septembre 1977
(Décret n° 94-484 du 9 juin 1994, article 10)
Pour les installations de stockage de déchets, l’étude d’impact est soumise pour avis avant l’octroi de l’autorisation d’exploiter, à la commission locale d’information et de surveillance intéressée, lorsqu’elle existe, ainsi qu’au conseil municipal de la commune d’implantation.
Article 8 du décret du 21 septembre 1977
Le conseil municipal de la commune où l’installation projetée doit être implantée et celui de chacune des communes dont le territoire est atteint par le rayon d’affichage sont appelés à donner leur avis sur la demande d’autorisation dès l’ouverture de l’enquête. Ne peuvent être prise en considération que les avis exprimés au plus tard dans les quinze jours suivant la clôture du registre d’enquête.
Article 15 du décret du 21 septembre 1977
(Décret n° 86-1289 du 19 décembre 1986, article 2)
La liste des installations qui, en application de l’article 5 de la loi du 19 juillet 1976 susvisée, sont autorisées par le ministre chargé des installations classées est fixée dans la nomenclature des installations classées.
L’autorisation est délivrée après avis du conseil général.
Lorsque pour une de ces installations, en raison de sa localisation, le rayon d’affichage mentionné au 4° de l’article 5 s’étend à un département voisin ou à une région voisine, le conseil général de ce département, le conseil régional de la région dans laquelle l’installation doit être implantée ainsi que, le cas échéant, le conseil régional de la région voisine sont également consultés.
Article 44 du décret du 21 septembre 1977
A titre transitoire, la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes résultant du décret du 20 mai 1953 modifié constitue la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement prévue à l’article 2 de la loi du 19 juillet 1976.
Pour l’application de l’alinéa précédent, les établissements dangereux, insalubres ou incommodes de 1ère et 2° classe sont les installations soumises à autorisation et les établissements dangereux, insalubres ou incommodes de 3° classe sont les installations soumises à déclaration.
Le rayon d’affichage prévu aux articles 3, 6 et 8 du présent décret est celui qui figure à la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes ; à défaut, il est fixé à 500 mètres.
LE CONSEIL GENERAL DE LOIRE ATLANTIQUE N’EST PAS SAISI DU DOSSIER A L’HEURE D’AUJOURD’HUI. CEPENDANT LE CONSEIL GENERAL DOIT STATUER SUR LE DOSSIER ET POUR L’INSTANT AUCUNE REMARQUE.
D’UN POINT DE VUE GENERAL :
NON A L’IMPLANTATION D’UN BROYEUR À FERRAILLE SUR LE SITE DE CHÉVIRÉ.
NON SENS ECONOMIQUE (doublon d’installations désormais existantes à Montoir)
NON SENS ECOLOGIQUE (le risque zéro n’existe pas, ce projet contredit notre agglomération attachée au cadre de vie telle que le plan de l’habitat l’affirme)
NON SENS POLITIQUE (imposer à des riverains de bouguenais et de rezé la seule volonté de nantes sans leur demander leur avis)
NON SENS CIVIQUE (implanter une usine aussi dangereuse, polluante, bruyante assortie d’une telle augmentation de trafic routier lourd est nuisible à nos enfants)
RENDEZ VOUS MERCREDI 7 MARS A LA MAIRIE ANNEXE DE NANTES BELLEVUE (PLACE DES LAURIERS, ARRET TRAM LAURIERS) A 15 HEURES.
OUI NOUS SOMMES CONSCIENTS QUE CETTE IMPLANTATION INDUSTRIELLE DE GRANDE AMPLEUR S’INSCRIT DANS UN PROGRAMME INTITULÉ CHEVIRÉ AVAL QUI NOUS SEMBLE EN CONTRADICTION AVEC LES ENJEUX DE LA METROPOLE NANTES SAINT NAZAIRE.
Brice : peux-tu donner le jour et l’heure de la réunion pour qu’on l’annonce dans l’agenda ? Merci.
J’imagine que l’article suivant de Ouest Rance samedi : http://www.nantes.maville.com/actu/re/actudet/actu_loc-377293_.html n’est pas arrivé par hasard… Extrait : «
»
Bonjour à tous,
en attendant une date de réunion publique pour nous les amoureux de trentemoult et de la ville préservée d’industries bruyantes, polluantes et dangereuses je vous communique les dates de présence légales du commissaire de l’enquète publique :
à la mairie annexe de nantes bellevue place des lauriers (ou le dossier de l’enquète est déposé comme à rezé, bouguenais et saint herblain. Donc Monsieur Raymon Telle, commissaire enquéteur reçoit le public à bellevue les :
– mardi 20 fevrier (today !)de 14h à 17 h
– le jeudi 1er mars de 14h à 17h
– le mercredi 7 mars de 14h à 17 h
– le mercredi 14 mars de 14 h à 17 h
Il reçoit les observations du public…. A nous de jouer…. voir le message suivant
JE VOUS L’AI FAIT EN LANGAGE COMME EUX…. MAIS JE PREPARE UN FILM….
Projet de la Société AFM – CFF pour
l’implantation d’une unité de broyage des déchets
métalliques
La société CFF projette d’implanter, une installation de broyage de déchets de ferrailles, de
Voitures Hors d’Usage, et de réfrigérateurs.
Cette implantation située au pied du pont de Cheviré et à 600 mètres des Couets, 800m de
Trentemoult, ne va pas sans causer de souci aux riverains et doit alerter tout citoyen de
l’Agglomération Nantaise.
Le dossier technique déposé en préfecture le 19 juin 2006 et complété le 25 septembre 2006, fait
apparaître des erreurs qui trompent le public sur la réalité des impacts de ce projet.
Ce projet soutenu par Ronan DANTEC (Elu vert et vice président de la Communauté Urbaine de
Nantes) ne pèse pas lourd face aux nombreuses réalités entourant non seulement les habitudes
d’une société peu regardante sur ses conditions d’exploitation, d’un secteur à risque, et du
manque de sens économique au projet.
INCENDIE ET EXPLOSIONS A REPETITION
Le broyage automobile est une activité à hauts risques industriels. Une recherche sur internet fait
apparaître des explosions parfois ressenties jusqu’à 1 km de distance faisant voler les vitres des
locaux voisins à 300m, circulation routière interrompue pendant plusieurs heures du fait des
épaisses fumées d’un incendie (visible à 20 km), confinement et évacuation des riverains du fait
d’émissions d’acide cyanhydrique et de dioxyde de souffre, pollution des eaux, pollution des sols
… la liste est longue.
Les mesures de prévention proposées ne permettent en aucun le risque zéro.
Comment autoriser alors cette installation susceptible d’engendrer des fumées qui arrêteront la
circulation des véhicules sur le pont de Cheviré les noyant du même coup dans un nuage chargé
de vapeurs toxiques ?
IMPACT ACOUSTIQUE SOUS ESTIME
La société prévoit de charger / décharger environ 3 à 4 bateaux par mois (Soit environ 6 à 8
journées complètes). Cette nuisance sonore n’a pas été prise en compte dans l’étude acoustique
car elle a été jugée négligeable !! Pourtant, cette activité de chargement sera réalisée pendant 1/3
du temps de fonctionnement de la plateforme, elle sera réalisée sans aucune protection
acoustique. La prévision acoustique fait apparaître que les niveaux sonores maximum sont
atteints (4,9dBA, pour 5dBA maximum autorisé) sans prendre en compte ces opérations de
chargements. Le site ne pourra donc pas respecter les niveaux sonores maximum
admissibles.
Qui plus est, les indicateurs pris en référence pour mener cette étude sont faux : cette étude n’est
donc réglementairement pas valable. En prenant en référence les indicateurs réglementaires,
l’impact acoustique sera de l’ordre de +8 à +10 dBA, soit un niveau 2 à 3 fois plus élevé que
le maximum réglementaire autorisé.
19 février 2007
2
LES INFRASTRUCTURES ROUTIERES ACTUELLES SONT DEJA SATUREES ET
L’IMPACT ROUTIER EST SOUS EVALUE
La base des 100 camions par jour annoncée par la Société Cff correspond à des chargements de
l’ordre de 12 tonnes. Or le dossier indique également qu’une part de ces tonnages concerne des
Véhicules Hors d’usage qui seront livrés unitairement, ou par 10 véhicules au maximum (Soit
environ 8 tonnes par chargement). De plus CFF va ouvrir un centre d’apport volontaire sur son
site. Il s’agit d’accueillir les petites quantités (Entre 50 kg et 500 kg) livrées par les particuliers,
artisans, gens du voyage. Ce trafic routier important n’a pas été pris en compte dans le calcul
de l’impact routier.
Dans ces conditions il est totalement prévisible qu’en réalité le trafic routier s’élèvera en réalité
entre 300 et 400 véhicules par jour. Soit un accroissement variant entre 7.5 et 10 % du trafic
actuel ce qui ne manquera pas d’occasionner une gêne pour tous les usagers du périphérique
Nantais et créera inévitablement un point de blocage horrible à l’entrée de Nantes.
CFF, UNE IMAGE ECORNEE PAR DES REALITES
CFF via sa filiale AFM multiplie de graves problèmes environnementaux.
A Avrillé (49), Marc Laffineur, Maire d’Avrillé, souhaite « la fermeture immédiate de ce site qui
met en danger les habitants » de la ville (26 mai 2005). En effet, incendies, explosions, et
pollution des eaux sont monnaie courante sur ce site.
A Rennes (35), CFF a été dans l’obligation d’arrêter son activité pendant 3 semaines suite à une
explosion fortement ressentie par les voisins : tremblement des murs et des vitres, chute de lustre
dans un centre commercial à 300 mètres de là.
A Auray (56), CFF entrepose régulièrement des ferrailles au bord de la voie ferrée au risque de
s’effondrer sur le réseau ferroviaire.
A Trignac (44), le site sur lequel est implantée CFF n’est que très partiellement imperméabilisé et
occasionne de nombreuses nuisances aux riverains gênés par les chocs des ferrailles lors des
nombreuses manipulations.
Les villes où sont implantés des broyeurs de ce type souhaitent leur déménagement dans des
zones plus isolées : pourquoi une exception à Nantes ?
QUELS CRITERES ECONOMIQUES ?
CFF souhaite traiter 400 000 tonnes de déchets annuellement, qu’elle prévoit de collecter dans un
rayon de 250 km. D’un projet « utile » à l’Agglomération, nous passons à une installation
destinée à réaliser des profits capitalistiques en traitant les déchets de tout l’Ouest de la France.
Aujourd’hui, l’agglomération Nantaise, et même la région des Pays de Loire est en sur-capacité
de traitement des déchets métalliques. En effet, il existe de multiples installations à Rennes (2
broyeurs), Montoir de Bretagne (1 broyeur : le plus puissant d’Europe), Poitiers (1), Brest (1),
Rosporden (1), Champagné (1).
Une nouvelle installation n’est d’aucune utilité économique. Par ailleurs, les 40 emplois prévus
sur la plateforme sont bien sur 40 emplois automatiquement à supprimer au sein d’autres
entreprises qui traitent aujourd’hui ces déchets.
allez voir cela : et faites passez ….
http://www.youtube.com/watch?v=2JW39xbPBD
Désolé il suffit d’une lettre dans le code pour que ca ne fonctionne pas…
donc voilà la bonne ligne de code. Merci.
http://www.youtube.com/watch?v=2JW39xbPBDw
Il semblerait que cette fois ci non plus, ça ne fonctionne pas… patience …
Pour le film cherchez geantdefer sur youtube.com ou sur dailymotion.com
pour la réunion qui s’est déroulée hier soir à la guinguette de trentemoult une bonne vingtaine de personne étaitent présente dont des representants des association environnement et de la municipalite de bouguenais nous avons convenu de nous retrouver devant le commissaire enqueteur le mercredi 7 mars à 15h place des lauriers à la mairie annexe de nantes bellevue pour noter nos remarques dans le registre…la presse sera là
Beaucoup d’incohérence dans ce dossier, beaucoup de mauvaises procedures (aucun registres à bouguenais et rezé, aucune appréciation de nantes st nazaire metropole et des installation qui fonctionne d’ortes et deja dans l’estuaire et qui font de ce projet un non sens économique… tellement de choses a se dégouter du politique mais à se donner des ailes pour lutter au nom de notre sécurité et de celles de nos enfants….
GEANT DE FER
RENDEZ VOUS MERCREDI 7 MARS A LA MAIRIE ANNEXE DE NANTES BELLEVUE (PLACE DES LAURIERS, ARRET TRAM LAURIERS) A 15 HEURES.
Bonjour, suite à notre réunion de vendredi dernier voici les deux liens
http://www.dailymotion.com/GEANTDEFER
http://www.youtube.com/profile?user=GEANTDEFER
où vous pourrez voir les deux videos que j’ai ajouté à celle de trentemoult sur ferraille
COMPTE TENU DU MANQUE D’AFFICHAGE LEGAL DE L’ENQUÈTE PUBLIQUE, NOUS AVONS TROUVÉ CELA DANS LES REGLEMENTATIONS EN VIGUEUR :
Extraits du décret du 21 septembre 1977
(Décret n° 94-484 du 9 juin 1994, article 10)
Pour les installations de stockage de déchets, l’étude d’impact est soumise pour avis avant l’octroi de l’autorisation d’exploiter, à la commission locale d’information et de surveillance intéressée, lorsqu’elle existe, ainsi qu’au conseil municipal de la commune d’implantation.
Article 8 du décret du 21 septembre 1977
Le conseil municipal de la commune où l’installation projetée doit être implantée et celui de chacune des communes dont le territoire est atteint par le rayon d’affichage sont appelés à donner leur avis sur la demande d’autorisation dès l’ouverture de l’enquête. Ne peuvent être prise en considération que les avis exprimés au plus tard dans les quinze jours suivant la clôture du registre d’enquête.
Article 15 du décret du 21 septembre 1977
(Décret n° 86-1289 du 19 décembre 1986, article 2)
La liste des installations qui, en application de l’article 5 de la loi du 19 juillet 1976 susvisée, sont autorisées par le ministre chargé des installations classées est fixée dans la nomenclature des installations classées.
L’autorisation est délivrée après avis du conseil général.
Lorsque pour une de ces installations, en raison de sa localisation, le rayon d’affichage mentionné au 4° de l’article 5 s’étend à un département voisin ou à une région voisine, le conseil général de ce département, le conseil régional de la région dans laquelle l’installation doit être implantée ainsi que, le cas échéant, le conseil régional de la région voisine sont également consultés.
Article 44 du décret du 21 septembre 1977
A titre transitoire, la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes résultant du décret du 20 mai 1953 modifié constitue la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement prévue à l’article 2 de la loi du 19 juillet 1976.
Pour l’application de l’alinéa précédent, les établissements dangereux, insalubres ou incommodes de 1ère et 2° classe sont les installations soumises à autorisation et les établissements dangereux, insalubres ou incommodes de 3° classe sont les installations soumises à déclaration.
Le rayon d’affichage prévu aux articles 3, 6 et 8 du présent décret est celui qui figure à la nomenclature des établissements dangereux, insalubres ou incommodes ; à défaut, il est fixé à 500 mètres.
LE CONSEIL GENERAL DE LOIRE ATLANTIQUE N’EST PAS SAISI DU DOSSIER A L’HEURE D’AUJOURD’HUI. CEPENDANT LE CONSEIL GENERAL DOIT STATUER SUR LE DOSSIER ET POUR L’INSTANT AUCUNE REMARQUE.
D’UN POINT DE VUE GENERAL :
NON A L’IMPLANTATION D’UN BROYEUR À FERRAILLE SUR LE SITE DE CHÉVIRÉ.
NON SENS ECONOMIQUE (doublon d’installations désormais existantes à Montoir)
NON SENS ECOLOGIQUE (le risque zéro n’existe pas, ce projet contredit notre agglomération attachée au cadre de vie telle que le plan de l’habitat l’affirme)
NON SENS POLITIQUE (imposer à des riverains de bouguenais et de rezé la seule volonté de nantes sans leur demander leur avis)
NON SENS CIVIQUE (implanter une usine aussi dangereuse, polluante, bruyante assortie d’une telle augmentation de trafic routier lourd est nuisible à nos enfants)
RENDEZ VOUS MERCREDI 7 MARS A LA MAIRIE ANNEXE DE NANTES BELLEVUE (PLACE DES LAURIERS, ARRET TRAM LAURIERS) A 15 HEURES.
OUI NOUS SOMMES CONSCIENTS QUE CETTE IMPLANTATION INDUSTRIELLE DE GRANDE AMPLEUR S’INSCRIT DANS UN PROGRAMME INTITULÉ CHEVIRÉ AVAL QUI NOUS SEMBLE EN CONTRADICTION AVEC LES ENJEUX DE LA METROPOLE NANTES SAINT NAZAIRE.