Je voudrais demander a tous, urgentment, ou quand se peut, pour contacter les presses locales de ses respectives villes, sur qui s’arrive dans Espírito Santo, au Brésil.

En resumé, la Multinacionale Aracruz Celulose a appelé les agents de police spéciaux qui injurent des indigènes, des étudiants et des militants des Mouvements Sociaux d’ Espírito Santo, qui, hier, ont occupés le Port d’Aracruz, PORTOCEL. La raison de l’occupation, c’est contraindre le Gouvernement Fédéral pour résoudre le conflit entre les indigenes et l’entreprise Aracruz.

La situation, ici, deviens tendue. Les plus en plus, arrivent des personnes nouvelles et le menace d’un conflit ouvert augmente. D’ailleurs, la presse est interdite d’y entrer.

Il suit, ci-dessous, deux texts du indymedia Brésil, avec détails.

Indigènes brésilliens Tupinikin et Guarani occupent le port d’Aracruz Celulose

Au matin du mardi , le 12 Décembre, environ 200 indigènes Tupinikim et Guarani, de la ville Aracruz, dans Espírito Santo, ont occupé le port de l’entreprise Aracruz Celulose. Le but d’indigènes est contraindre le Gouvernement brésilien pour tenir son devoir constitutionnel et delimiter, d’un coup, les terres traditionnelles d’eux. Il y a 11.009 d’hectares de terres, envahies pour ARACRUZ. Beaucoup d’entitié et Mouvements Sociaux appuient l’action, y compris, le Mouvement des travailleurs sans terre (Movimento dos trabalhadores sem terra – MST).

Depuis le 12 Décembre 2006, le procès des terres Tupinikim/Guarani se trouve au Ministère de Justice avec l’avis favorable à la démarcation, de la FUNAI (Fundação Nacional do índio – Fondation Nationale pour l’Indigène). Depuis cette date, pourtant, aucune décision a été pris, malgré la promesse du Ministre de la Justice, Márcio Thomaz Bastos, d’émettre l’Ordonnance de Délimitation des terres jusqu’au móis d’Août 2006 et de l’homologuer jusqu’à la fin d’année, en réunion d’État, realisée au móis d’Février, au Parlement d’Espirito Santo.

C’est pour ça que le comité des Caciques et des têtes Tupinikim et Guarani jugent qui le délai stipulé pour le Gouvernement, en réunion, n’ont pas été tenu, à tel point que les manifestations indigènes pour tenir le délai deviennent inévitable.

Aujourd’hui, des groupes d’appui allemands, américains et norvégiens, à la lutte indigène accomplient des manifestations à la Embassade et au Consulat brésilien pour que les terres Tupinikim et Guarani soient démarquées.

Indigènes Tupinikim et Guarani occupent le port d’Aracruz Celulose dans Espírito Santo

Ça fait trois heures que les indigènes Tupinikim et Guarani occupent le terrain du port d’Aracruz Celulose S/A, qui exporte sa production, de plus de 2 milions de tonnes de cellulose, réservé au pays de grande consommation de ce produit, utilisé surtout pour la fabrication de papiers à usage unique, en Europe, Amérique du Nord et en Asie.

Ce sont déjà 300 d’indigènes qui mantiennent l’occupation, appuyés pour un groupe du MST et un nombre croissant de mouvements et d’entité qui y arrivent. La direction du port a rapporté la paralisation des activités. Les ouvriers qui y ont été à l’heure de la occupation, ont laissé le terrain, en acclamant les indigènes. Selon la presse locale, Aracruz Celulose a déclanché la police federal.

Selon des informations de la FUNAI, le 14 Juillet, il y aura une réunion entre la FUNAI et le ministre de la Justice brésilien pour résoudre la question de la démarcation des terres Tupinikim / Guarani. Les têtes indigènes ont informé qu’ils sont engagés à rester au port jusqu’au jeudi, si le Ministre ne se prononcer pas avant, sur l’engagement de démarquer les terres Tupinikim / Guarani – assumé par lui – cette anée encore.

Demain, il y aura une réunion du Conseil des Droits Humains (CDDPH) du Secrétariat Espécial des Droits Humains de la Présidence de la République (SEDH). La réunion est presidé par le Ministre Paulo Vanucchi, cadre du SEDH, et aura place au bâtiment du Ministère de la Justice.

La campagne diffamatoire et raciste que l’entreprise Aracruz Celulose a cré contre les indigènes dans ces dérniers móis, est à l’affaire de la réunion. Ce sérait très important que les représentants des entités et mouvements socials dans Brasília pouvaient y comparaître.