République brésilienne, 117 ans ; aliénation ou développement ?

Benjamin Franklin, dans son « Modeste Essai sur la Nature et la
Nécessité du
Papier-argent » (1729) , il a démontré pour leurs contemporains et
pour la
postérité, qu’est ridicule un état de prendre argent prêté, en ayant
été
lui-même chargé d’imprimer des « pounds » dans Philadelphia.

Un ancien observateur a écrit :

L’endettement national, ceci est, l’aliénation de l’état (…) il a
imprimé sa
marque dans l’ère capitaliste. Comme par le contact d’un poteau
magique,
[la dette publique] elle confère à l’argent stérile capacité de se
multiplier et, avec cela il le transforme dans capital, sans la
nécessité
dont il s’expose aux problèmes et aux risques inséparables de son
emploi
dans l’industrie ou même dans l’usure.

Les créanciers de l’État, en vérité, ils ne cèdent rien, donc
l’addition
prêtée est transformée dans des titres publics, faciles de négocier,
ils que
peuvent continuer à en fonctionner dans leurs mains tel comme le ferait
l’argent sonnant.

Cachés sous le manteau du service et du refinancement de la dette
interne
presque cinq cents mille millions de Réaux (U.S.$ 220.000.000.000.00)
ils
ont été transférés dans 2006 des secteurs sociaux qui payent des impôts
(prépondérantement les salariés), pour les banquiers.

Ceci
vient en arrivant année après année depuis l’« ère FHC ».
PSDB de FHC et d’Aécio Neves a créé cette terrible situation…Jusqu’à
quand
il persistera ?

Seulement pour que l’ami lecteur ait une idée :

Service de la dette interne (intérêts et amortissements)
205.849.725.418, 00
*.

Refinancement de la dette interne 285.164.251.806, 00 *.

Attention hospitalière et ambulatorial dans SUS: 18.883.300.358 *

* Sénat brésilien :

https://siga.senado.gov.br/siga/scripts/login/webiHome.jsp