En l’absence de tout sondage d’opinion, ne me fondant que sur mes capacités d’analyse, j’avais pronostiqué une victoire du OUI à la nouvelle Constitution cubaine dès le 15 février (voir CUBA On parie ?).

 

Certes, j’ai été un peu aidé par le fait que toute campagne en faveur de l’une des deux propositions, en l’occurrence le NON, était strictement interdite sur place et  a valu à tous ceux qui sont passés outre un petit séjour à l’ombre, ce qui faisait dire à certains « contre-révolutionnaires-faisant-le-jeu-de-l’impérialisme » qu’il s’agissait davantage d’une farce que d’une véritable consultation électorale.

Aidé également par le fait que toute transparence dans le dépouillement du scrutin demeure inexistante à Cuba, car sans aucun doute susceptible de faire le jeu des Yankees.

Quoi qu’il en soit, réjouissons-nous pour nos grenouilles du bénitier communiste, qui n’ont plus guère ici de possibilités de s’ébattre avec entrain, et entonnons avec elles ce cri émancipateur :    

 

Vive la propriété privée castriste !