Au-delà de leurs petites enquêtes anecdotiques dans lesquelles les flics savent bien qu’ils n’obtiendront pas grand chose en terme de répression, il s’agit pour les « services spécialisés » (DCRI, SAT, etc.) et à travers eux le parquet, de maintenir la pression sur des personnes « en attente » de procès sur les affaires de machine à expulser et leurs ballades et sabotages de DAB [http://www.non-fides.fr/?Trois-compagnons-arretes-a] et aussi de remettre à jour quelques données en volant des ordinateurs, clés USB, etc.

Il va de soi qu’aucun gigotement des forces de répression de l’Etat n’arrêtera nos rebellions.

Sans peur ni résignation,
vive la guerre sociale.

Des anarchistes.

N.B. : La BRDP [http://www.non-fides.fr/?+-La-BRDP-fait-son-sale-travail-+], qui se présente elle-même comme une « antichambre de la section antiterroriste » (dixit les flics) est spécialisée dans la répression de la diffamation, jusqu’à la menace nominative. Ils se sont déjà illustrés pour leur enquête sur le texte « Analyse d’un dossier d’instruction antiterroriste » [http://nantes.indymedia.org/article/20525] dans laquelle ils avaient interrogé un compagnon soupçonné d’animer le blog « Même pas peur », puis Olivier et Camille lors de leur arrestation en janvier 2011 par la section antiterroriste [http://nantes.indymedia.org/article/22730].