Dimanche 18 mars : Sisters in law, de Kim Longinotto et Florence Ayisi
Le parcours juridique de trois femmes, dans une ville d’Afrique où il n’y a jamais eu aucun procès pour des violences subies par une femme. Des parcours super différents, qui sont vachement universels, mais qu’on n’a pas l’habitude de voir traités de cette manière.

Dimanche 25 mars : Le sel de la terre, de Herbert J. Biberman
En ce moment, c’est à la mode par chez nous ; comment les meufs trouvent une place dans les mouvements politiques ? Ici, des grévistes méxicano-américains doivent abandonner leur piquet de grève, suite à une décision du tribunal, et les femmes décident de prendre la relève.

Dimanche 1er avril : Surprise !
Tout ce qu’on peut dire, c’est que c’est déjanté, marrant, pas prise de tête, explosif (c’est le cas de le dire !), très très anglais, pleins de références, et pas sérieux pour un sou ! Il ne vous plaira peut-être pas, mais nous on l’adore ! A vous de voir si ce jour-là vous êtes d’humeur aventureuse…

Dimanche 8 avril : Fire, de Deepa Mehta
Au milieu d’imbroglio familiaux, Rahda et Sita sont réunies comme belle-soeurs. Peu à peu, elles se découvrent des affinités. Leur amitié les entraîne à résister à leurs maris, leur famille, et les attentes qu’à la société indienne envers elles.
On tient quand même à dire que ce film, il n’a jamais été traduit ! Non seulement, il a été censuré dans pleins de pays, sa réalisatrice a du émigrer pour le finir, mais en plus, le reste du monde n’a jamais pris le temps de traduire ses sous-titres ! Bon, on l’avoue, on n’est pas peu fières de l’avoir fait.

Dimanche 15 avril : Flamme de mon amour, de Kenji Mizoguchi
Sorti en 1949 au Japon, le film se déroule en 1884. Tout commence avec l’ouverture d’une école visant à changer la condition des femmes au Japon. Mais sa fondatrice, Eiko Hirayama, reçoit ordre de fermer son école. Elle rejoint alors Tokyo, où elle restera et deviendra journaliste. Au cours d’une de ses enquêtes, elle est confrontée à l’esclavage des ouvrières de la soie, qui la replonge dans des tribulations féministo-révolutionnaires.
En fait, ce film est trop complexe à résumer. En gros, c’est un des premiers film féministes japonais, avec des chouettes discours, plein de fibre révolutionnaire, et une femme qui échappe à mariage malheureux.