De nouvelles manifestations de solidarité internationale avec la lutte du peuple iranien auront lieu le 12 juin 2010 a travers les quatres continents

Les fonctionnaires de la prison iranienne Qezel Hessar (a Karaj dans la, banlieue de Téhéran) ont annoncé que 26 prisonniers avaient été transférés en section de quarantaine pour préparer leurs exécutions dans les deux jours.

Les mediactivistes et Militants des Droits Humains en Iran du site RAHANA et d’autres collectifs de défense des droits humains iranien nous rapportent que les autorités ont exécuté treize de ces prisonniers, ce matin du 7 juin 2009.

Alors que l’on apprenait hier que 26 personnes risquaient d’être exécutées dans les prochaines 48 heures, des informations en provenance d’Iran indiquent que treize personnes ont été exécutées ce matin du 7 décembre 2010 à la prison de Karaj dans la banlieue de Téhéran.

Mohammad Seyfzadeh, avocat et militant des droits humains a déclaré à propos de ces pendaisons que « la plupart des prisonniers exécutés avaient demandé une grâce qui leur a été refusée ». Il a ajouté que pour la plupart de ces personnes il s’agissait d’un premier délit.

Ces condamnations à mort ont été en majorité prononcées par le juge Hosseini, chef de la première chambre du tribunal révolutionnaire.

La République islamique a accéléré l’application des peines et 21 personnes ont été exécutées dans diverses prisons le mois passé. L’Iran détient le record des exécutions dans le monde après la Chine, selon les organisations des droits humains.

Au début du mois de mai, les autorités iraniennes ont exécuté cinq prisonniers politiques sans préavis à leur famille ou avocats. L’exécution de Farzad Kamangar, Ali Heydarian, Farhad Vakili, Shirine Alamhouli et Mehdi Eslamian a été condamnée par toutes les organisations des droits de l’homme.

Ces exécutions ont eu lieu alors que trois de ces cas étaient en cours de révision. Les autorités ont, en plus, refusé de restituer les cadavres des prisonniers à leurs familles pour l’enterrement. Au bout d’un mois le gouverneur du Kurdistan a annoncé que les prisonniers avaient été enterrés dans un endroit qui ne pouvait être divulgué pour des raisons de sécurité.

Khalil Bahramian, avocat de certains de ces prisonniers a annoncé : « En effet nous avons écrit des lettres à toutes les personnes possibles à cette époque, des fonctionnaires provinciaux aux députés, au chef du pouvoir judiciaire et à toute personne responsable de cette affaire. » Il a ajouté que le chef de la magistrature avait agi dans l’indifférence totale des plaintes. Actuellement, 17 autres prisonniers politiques kurdes sont dans les couloirs de la mort de différentes prisons en Iran. Un dizaine d’autres prisonniers arrétés lors du des émeutes du dimanche sanglant du 27 décembre 2009 risquent également la peine de mort le régime les a désignés et jugés comme des « moharebeh » c’est-à-dire des « ennemis de dieux » ils risquent donc la peine de mort

On signale aussi des disparitions et des enlèvements et des dizaines d’arrestations par les milices Bassidj’s a travers tout le pays voir les sites

http://rhairan.info/en/

http://iranhr.net/spip.php?rubrique15

http://www.en-hrana.com/

http://www.ihrv.org/inf/

http://www.iranhumanrights.org

Pour connaitre les noms des criminels du régime qui assassinent le peuple iranien vous pouvez consulter le site Iran Crime Watch

http://irancrimewatch.com/index_en.php