La police anti émeute grecque a attaqué un centre social ou l’on s’occupait d’aide aux droits des immigrés àu numéro 13 de la rue Tsamadou a Exarcheia, Athènes, mais aussi une maison autogérée au centre de la rue Zaimi toujours dans ce quartier

Beaucoup de gens ont été attaqués dans leurs foyers, maisons et squats, les centres sociaux du quarrtier ont étés visés par la police anti emeute, celle ci s’est mis a battre et matraquer systématiquement les gens , d’autres flics on jeté des bouteilles vides sur la tête des gens L’aide médicale a été systématiquement refusée aux blessés, il y a eus plein d’arrestation dans le quartier

Les nouvelles sont parues rapidement sur le site indymedia Athènes et d’autres sites que la police grecque doit consulter tout les jours, car elle savait que des camarades devaient se réunir devant le QG de la police dans la rue Alexandras,

La police a arrêté systématiquement les gens a des fins d’interrogatoires ; mais surtout pour éviter que les camarades ne se regroupent les flics ont décidé d’embarquer les personnes arrêtées à la station de police Petrou Ralli plus loin, au sud dans la ville, loin des camarades qui s’étaient rassemblés en solidarité dans le quartier du QG de la police

Les flics ont également attaqués des maisons privées, toujours dans le district de Exarcheia, battus et blessé des gens qui y vivent. Une des personne blessées Ioanna Manousaka, a décidé de donner une interview à la Eleftherotypia un quotidien local. Elle a dit qu’elle avait participé pacifiquement aux démonstrations mais qu’après quelques minutes, elle a soudainement entendu les flics briser sa porte. Une fois a l’intérieur la police a commencé a la battre et a la tabasser la blessant grièvement a la tête , Ils ont détruit la serrure et brisé sa porte et mis a sac l’appartement , Ioanna a décidér de révéler au public le procès verbal de son arrestation et de relever leur comportement dans les médias. La police anti émeute devait s’attendre a ce que les victimes de leur violence aient peur et se taisent, peine perdue plein de gens du quartier n’ont pas hésité à témoigner

Quelque minutes après toujours dans le quartier les flics ont commis d’autres violences dans un café dans Exarcheia et brisé des fenêtres, insultant et tapant les personnes qui se trouvaient à l’intérieur

Historiquement, les tribunaux de la Grèce ne poursuivent jamais les membres des forces de police,meme ceux qui commettent des assassinats . Le 6 Décembre 2008, un flic grec, Epaminondas Korkoneas, avec un collègue, a tué un adolescent de 15 ans, nommé Alexandros Grigoropoulos dans Exarcheia. Lui et son collègue ont depuis été jugés mais il ya déjà des rumeurs selon lesquelles ils pourraient être libérés dans un avenir proche.

Beaucoup de témoins du quartier qui ont assisté a la mort d’Alexandros refusent d’aller témoigner devant la cour , affirmant que les tribunaux sont corrompus et que les résultats de l’enquête sont truqués d’avance , d’autres ont peur pour leur sécurité car ils indiquent qu’ils sont suivis et harcelés chaque jour par des policiers en civil qui les filent et les espionnent et qui ne les lâchent jamais

Ce 5 mai fut un jour qui illustre le sens que donnent les mots «démocratique» et «libre» dans la Grèce. Ce gouvernement (qui se dit «socialiste») vient de voter de nouvelles lois qui lui on permis d’abaisser le salaire minimum , les retraites , les aides sociales et médicales tout en augmentant les impôts. Tout cela dans au nom de «nécessités économique» pour la «nation-économie» sur ordres du FMI et des représentant de l’UE,

Nous demandons la fin du capitalisme , de cette fausse « démocratie représentative » la fin du tout pour les riches et la répartition des richesses égales pour tous-tes

Vidéo de la maison de notre camarade saccagée par la police

http://www.youtube.com/watch?v=X1DH3lFjErw

http://www.diktio.org/node/570

Pour ce qui est du constat des violences policières comme vous pouvez le constater les photos et la vidéo sur le site parlent d’elles mêmes

Message transmis par des camarades grecs-que