Cop watching suite

http://resistons.lautre.net/article.php3 ?id_article=337

comme on en parlait sur l’article publié récemment ici sur le mouvement du cop watching voici un texte inspiré de celui du ncede San Francisco que nous avons tentés de réactualiser pour paris , mais qui peut bien sur l’être pour toutes les villes de province.

Introduction

cet article est prévu pour présenter au public les concepts principaux de l’observation de la police. Il est loin d’être complet et nous en apprendrons certainement plus jour jour et par la pratique. Il est vrai que dans différentes parties du pays et dans différentes situations,les habitant-es de nos villes et quartier concevrons leur propres méthodes de COPWATCHing qui améliorent leur propre situation.

Veuillez employer l’information de cet article, comme manière de stimuler la discussion dans votre groupe de Cop Watching et de vous en servir comme une base pour former votre propre groupe et projet. Il peut être tout à fait provocant (au niveau de l’interpellation de l’opinion publique) et parfois gratifiant en terme de baisse de la violence policière dans nos quartiers Bonne chance Espérons que ce texte puisse vous aider si vous décidez de créer un Cop Watch en France

Qu’est ce qu’un Cop Watch

Nous sommes un groupe d’habitant-es des étudiants , des salarié-es qui sont choqué-es par l’escalade de la conduite, du harcèlement et de la brutalité de police ces dernières années.

Nous nous sommes joints ensemble pour lutter pour nos droits et les droits de habitant-sont de nos quartiers, en prenant la décision Collective de surveiller directement la conduite et les comportements répressifs de la police.

C’est exact pour cela Nous marcherons ensembles dans les rues et observerons la police.

Bien qu’il soit important de résister à la brutalité de police en déposant des plaintes (dans les cours de justice) ou en témoignant par exemple pour la France (devant un procureur, car devant l’Igs inspection générale des service peu de plainte contre les violences aboutissent), nous croyons qu’il est crucial d’êtres présent-es de maniéres VISIBLES dans les rues pour surveiller les comportements violents (ou racistes) de la police

Il faut que la police sache que LES POPULATIONS DES QUARTIERS les jugerons responsables de leurs comportements.

En tant que Cop Watch Nous habitant-es volontaires de nos quartiers nous venons de tout les milieux sociaux, d’organisations politique ou non , d’organisations syndicales , associatives , de défense des droits humain Ce que nous partageons tous-tes c’ est la croyance que la participation des habitant-es de nos quartier ,à ces questions sur la surveillance de la police est une première étape cruciale vers établir un mouvement qui est capable d’arrêter la violence de la police et de son rôle plus en plus puissant dans le contrôle social et global , de toute notre société.

Si vous avez été une victime d’abus de la police, les témoins de violences policières le sont souvent eux-elles aussi ne l’oublions pas (les pressions de la police sur des témoins de violences policières sont loin d’êtres des allégations mensongères comme le disent si souvent la hiérarchie de celle-ci).

aussi en paralélle a la formation de votre groupe COPWATCH. Il faut savoir que vous aurez toujours besoins de soutiens d’avocat-es d’auteurs, chercheurs, artistes, militant-es syndicaux , politiques, associatifs-ves de votre quartier , le fait de créer un Cop Watch ne peut jamais se faire Seul ( c’est bien trop dangereux juridiquement avec des lois sécuritaires et totalement liberticides votées ces dernières années comme la Lsq , la Lsi , ou celles dites Perben 2 qui criminalisent tout types d’actions sociales, un tant soit peu radicales ou sortant du train train de la manifestation déposée et autorisée ) mais en groupe solidaires et déterminés

LA VISIBILITE DE VOTRE GROUPE UN FACTEUR DETERMINANT.

Quand vous patrouillerez dans les rues , ne jamais avoir sur soit d’alcool, de  » drogues  » et d’armes , pour la police un simple canif peut devenir une  » arme par prédestination  » pas la peine de donner a une police surprotégée au niveau juridique , des faits et objets qui pourraient se retournez contre vous Si lors de vos patrouilles vous vous faites interpeller par la police, pour  » attroupement illégal et non autorisé de plus de trois personnes sur la voix public  » toujours essayer de garder votre calme, êtres courtois mais fermes. Pour réduire la violence policière, il faut développer le harcèlement démocratique de police par la responsabilité COMMUNE de tous les acteurs et actrices sociaux-ales de votre quartier Observer directement la police sur la rue, ne jamais relâcher votre attention a son sujet.

Marcher toujours en groupe dans les rues (jamais seul) s’arrêter, observer et se documenter sur les incidents commis par la police (les rafles de sans papiers en est un exemples les plus flagrants) Identifier la police, les policiers (leur noms si possible, leur numéro d’insignes, de département, numéros d’unités – pour les bacs par exemple)

NOS IMAGES NOUS PROTEGENT ET NOUS SERVENT*

* Slogan parodiant les inscriptions sur les badges de la police de san Francisco  » protect and serve  » littéralement  » protéger et servir  » repris ironiquement par le Cop watch de cette ville Que faire et comment agir avec votre Cop Watch Enregistrer avec des appareils Photos numériques ou vidéos toutes les violences policiéres que vous constaterez dans vos quartiers utiliser des lecteurs enregistreurs mp3, des dictaphones enregistreurs peuvent et sont aussi nécessaires pour recueillir a chaud des témoignages contre les rafles ou les violences policières Écrire des témoignages détaillé décrivant l’incident lors de violences policières constatées dans votre quartier Rassembler le maximum de témoignages pour cela munissez vous de magnétophones ou de lecteur enregistreur mp3 très utile si vous voulez témoigner sur le net , ou sur les médias ( indépendants si possible ) car la collusion ( quand ce n’est pas les parti pris systématiquement pro police ) des medias dominants avec la police sont loin d’étres des légendes urbaines , comme le disent de nombreux prétendus  » journaliste  » Suivre toujours par la pression publique les instances judiciaires Soutenir le maximum les victimes d’abus policiers dans vos quartiers en vue de contrer les probables faux témoignage de la police

Encourager les personnes à classer leurs plaintes ou même à poursuivre la police, qu’elles le fassent en groupe jamais seul-es, a chaque violences policiéres constatées dans votre quartier créez des comités de soutiens, et surtout n’hésitez jamais, a interpeller (ou a harceler si ceux ou celles si font les sourd-es) les élu-es politique locaux

Interpeller les habitant-es de vos quartiers (par des diffusions de tracts hebdomadaires par exemple) sur la législation et les politiques discriminatoires qui augmentent la puissance de la police, et les attaques successives, constatées depuis ces dernières années, en matière de lois liberticides.

Le but est d’inciter les gens de votre quartier a rompre avec le fatalisme ambiant véhiculés par les médias dominants , comme quoi on ne peut rien ou presque contre les violences policières Distribuer et diffuser dans vos quartiers des tracts (ou coller des affiches de préférence en format A4) informant les gens sur leurs droits, faces aux violences policières

Augmenter tout les soutiens de votre quartier pour des victimes de crime de police.

Donner et faire un maximum de publicité dans votre quartier, sur tout les informations que vous aurez récoltées , avec votre COPWATCH et la pression de la population locale

Élargir la solidarité dans votre quartier sur les questions liées à la violence de police

Encourager les personnes à résoudre leurs problèmes SANS l’ intervention de police

Encourager les gens de votre quartier a exercer leur droits d’observer les comportement et abus de pouvoir de la police

La loi et les groupes Cop Watch

Très important il est utile que les COPWATCHers aient des référents juridique (les numéros d’avocat-es ou d’une association de défense des droit de l’homme par exemple car la police trouvera toujours un prétexte pour vous dire que ce que vous faites en tant que Cop Watchers est  » illégal « 

Infractions contre les Cop Watch que peut ont vous reprocher la police s’ils vous voient patrouiller dans la rue

Ce sont des  » délits  » mineurs tels que le stationnement prolongé sur la voie publique, d’avoir ( ou de boire ) l’alcool l’en public, ( par exemple dans certains parcs et jardins après leur fermetures) ,ou par exemple d’ être un mineur en possession de bombes de peinture , de marqueurs , d’autocollants, d’afficher des affiches dans la rue, d’être sur la voie publique a plus de 3 personnes sans autorisations préfectorales préalables.

Attention cependant si aucune loi pour l’instant ne vous interdis de vous promener a plusieurs par groupes tous-tes équipé-es d’appareil Photos ou vidéos , d’enregistreurs mp3 le seul fait de l’attroupement justifie a leur yeux , un contrôle d’identité.

Pour finir sur ce passage TRES IMPORTANT ne pas oublier les dernières lois sécuritaires votées récemment par Sarkozy interdisant les non journalistes détenteurs de carte de presse de filmer les violences policières

Résistance et  » obstuction  » a la  » justice « 

La police menacera souvent les COPWATCHers de ce  » délit  » , mais rappelez vous que vous avez le droit de les observer faire , et de signaler ( même si peu de démarches a l’Igs aboutissent ) leur abus de pouvoir , et les violences que la police peut ou pourrait commettre.

Code de déontologie

La brutalité de la police est définie dans le code pénal de nombreux pays Européens comme, du a des infractions de police par des abus physiques sur les sans cause légitime  » de nombreuses lois Européennes, et la cour Européenne des droit de l’homme condamne tout  » usages et recours démesurés a la force publique « .

Diverses lois récentes françaises ou européens que vous vous devez de connaître par cœur ( lsq lsi perben 2 loi dite contre le happy slapping vous interdisant de fait de diffuser sur le net des Photos de policiers en uniforme ou en civil si vous n’avez pas de cartes de presses)

Par exemple

Faire la manche de  » manières agressive  » la encore c’est le flou juridique total qui détermine si vous le faites  » agressivement  » ou pacifiquement , l’humeur plus ou moins bonne du policier Logement voir particulièrement les dernières lois sur les squats Infractions et  » incivilités  » , la encore toutes les dernières lois sécuritaires ne sont que la pour aider la subjectivité des policiers , a vous déclarer ou vous soupçonner d’être  » coupable  » , afin de  » justifier  » un contrôle d’identité.

Boire en public – note sentir l’alcool dans la rue n’est pas un crime a priori juste un  » délit mineur « 

Obstruction du trottoir, des halls d’immeubles considérée depuis les lois Lsq et Lsi comme un  » squattage  » de la voie publique

Quelques Tactique a utiliser pour un Cop Watch

Notre tactique principale dans COPWATCH est de décourager la brutalité policière et ses harcèlements, en créant des réseaux d’alertes téléphoniques, de sms , des listes de diffusions sur internet , pour faire savoir a celle-ci que toutes leurs actions seront enregistrées, filmées et diffusées publiquement , au gens des quartier comme sur les médias , afin de lui faire savoir qu’elle sera tenue responsables de tout ces actes de harcèlement et d’abus de pouvoir

Pour cela il faut :

Suivre jusqu’au bout les plaintes contre les violences policières par des comités de soutiens

Donner un maximum de publicité aux incidents aux abus de pouvoir du aux harcèlements policiers dans vos-votre quartier.

Travailler avec les Commission de déontologies, les interpeller, privilégier les plaintes contre les abus policiers, en portant systématiquement auprès d’un procureur de la république, puisque nous savons par expérience que la plupart du temps, l’inspection générale des services, censée surveiller les comportements délictueux de la police, solidarité de  » corps  » oblige  » couvrira  » toujours les abus policier de leur collègues.

Informer systématiquement dans nos quartiers tout-es ceux et celles qui ne croient pas que le harcèlement de police existe, et que les policiers  » seraient au dessus des lois  » et dans l’impunité totale.

A NOUS TOUS ET TOUTES D’AGIR

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cop watching surveillons ceux qui nous répriment

cop watching surveillons ceux qui nous répriment Ce qui s’est passé à Rouen, dans d’autres villes françaises est pour beaucoup d’entre nous présent-es ici, que le remake français du tabassage de Rodney King a los Angeles

Servons nous de caméras vidéos, d’appareils Photos numérique pour nous protéger des violences policières, des abus de pouvoir que nous subissons au quotidien et éventuellement bien sur pour témoigner des rafles de Sarkozy contre les sans papiers, contre les expulsions locatives et spéculatives , contre les expulsions de squatts .

COMME NOS AMI-ES DE LUTTES AMERICAIN-ES CREEONS PARTOUT DES COP WATCHING

Cop watching mais qu’est ce que c’est encore que ce truc , allez vous nous dire

Un peu d’histoire

A Cincinatti à Los Angeles dans les années 90 les habitants des quartiers pauvres créèrent des Cop Watch suite aux émeutes qui secouèrent ces deux villes, et aux répressions violentes qui s’en suivirent

Les Cops Watch c’est quoi, c’est trés simple, des gens se réunissaient et patrouillaient en groupe suivant la police au moindre contrôle au faciès violent ils filmaient la police et les violences qu’ils pouvaient commettre, avec des autocollants collés sur leur caméras, parodiant le  » protect and serve  » ou le  » proteger et servir  » qui est inscrit sur tout les badges et écussons des polices états uniennes

Le Résultat ne se fit pas attendre partout ou des cops watchs se sont crées, ou existent les  » bavures  » et violences policiéres baissèrent tout a coup de façon spectaculaire Ces comités existent toujours du reste certains on disparus, mais des nouveaux se montent dans toutes les grandes villes américaines chaque jour /The copwatch movement /

/Ou comment nous ne laissons plus les flics se balader seuls dans nos quartiers jeudi 17 avril 1997 /

/Copwatch, pour la première fois, fut mis en place en février 1990 dans la partie sud de Berkeley, Californie, en réponse à la brutalité policière : cela dans la droite ligne des « copwatchers » les plus connus peut-être d’Amérique – le Black Panther Party basé sur Oakland et le mouvement pour la libération de la jeunesse de Berkeley. /

/Depuis 1990, d’autres projets de Copwatch ont commencé dans d’autres villes. Minneapolis fut le premier groupe d’ARA à mettre en place sa propre version de Copwatch. Et maintenant Copwatch est à Columbus et fait des vagues ! /

/Actifs et visibles sur le territoire du campus d’OSU depuis les troubles policiers du 17 mai dernier, des fêtards, des équipes de volontaires Copwatch sont allés dans les rues pour faire ce qu’ils ont pu pour « protéger et servir », contrôlant l’activité de la police avec des caméras vidéo, et en informant la population du coin sur leurs droits. /

/Ce samedi soir là donc, un étudiant en criminologie d’OSU, Shammas Jones descendait High Street quand il vit la police anti-émeute alignée en travers de la 12e Avenue. Shammas avait une petite caméra vidéo. Il enregistra une partie des violences policières à distance puis se détourna et s’enfuit. Il fut attaqué par derrière par des agents qui le matraquèrent au visage, le jetèrent à terre, le cognèrent puis l’arrêtèrent. Ils prirent aussi la cassette de Jones et quand on la rendit finalement à son avocat la partie montrant le mauvais comportement de la police avait été effacée. Jones, qui est afro-américain, fut faussement accusé de trouble à l’ordre public et de résistance lors de l’arrestation. /

/Au tribunal il refusa une offre de la ville de retirer toutes les plaintes en échange d’une promesse de ne pas aller en justice. Après un procès de plusieurs jours, il ne fallu au jury, presque entièrement blanc, que quelques minutes pour déclarer Shammas innocent. Chris Wisniewski et Walter Leake étaient aussi près de la 12e Avenue et de High Street ce soir là. Wisniewski a vu l’attaque contre Jones et s’arrêta pour en critiquer la violence. Alors qu’il poursuivait sa marche il fut lui-même attaqué et matraqué. Après quelques heures resté menotté, les flics le laissèrent simplement partir. La même nuit Leake fut matraqué par un agent. Tous les trois ont porté plainte en civil contre la police. /

/Depuis qu’ils ont commencé leurs « patrouilles-vidéo » dans la rue en automne, plusieurs copwatchers de Columbus ont été victimes des flics. Ces flics n’aiment vraiment pas être surveillés. /

/Le 13 octobre un membre de Copwatch a été arrêté alors qu’il filmait la police. La vidéo montre clairement qu’il obéissait aux ordres de la police. Le week-end suivant ce fut le congrès de ARA. Le samedi nous avons fait une marche contre la brutalité policière. Un nombre très important de flics de la police de Columbus – à pied, en voiture et même avec un hélicoptère – harcelèrent le groupe, arrêtèrent une personne pour avoir marcher sur la rue et matraquèrent plusieurs d’entre nous. Ensuite le 27 octobre, trois volontaires de Copwatch furent inquiétés. Josh Klein fut arrêté pour avoir pacifiquement filmé en vidéo des agents. Puis Anne Pussel fut embarquée pour s’être plainte de la violence de l’arrestation. Finalement Trisha Sikora fut stoppée, interrogée et verbalisée pour avoir suivi le fourgon de la police qui amenait Josh et Anne à la prison ! La plupart de ces accusations ont maintenant été rejetées et Copwatch demande à la ville de l’argent du fait des violations commises envers leurs droits. /

/Ces attaques ont de fait fortifié Copwatch et l’ont aidé à grossir. Des militants ont étendu le projet à d’autres endroits de Columbus en dehors des environs de l’Université. Peut-être bientôt des gens à travers toute la ville mettront en place des « patrouilles » Copwatch par eux-mêmes. Si les flics ne font rien de mal pourquoi devraient-ils être gênés du fait d’être surveillés. N’est-ce pas ? Une brochure distribuée par le Copwatch de Columbus inclut les déclarations suivantes : « Nous avons des caméras. Nous avons des avocats. Nous avons des personnes qui peuvent être vues, d’autres qui ne le sont pas. Nous surveillons les flics dès maintenant. » /

/Un membre a déclaré à Ara News : « nous nous développons dans beaucoup de directions – éducation, défense juridique, manifestation, surveillance. Nous ne serons pas censurés (des flics ont arraché des affichettes de Copwatch légalement placardées dans les environs de l’Université). Nous ne serons pas intimidés. Nous rendrons compte de la brutalité et des mauvais comportements de la police et nous tiendrons la police responsable de ses actions. » /

/Ara News Anti Racist Action/ *1

Principe ESSENTIELS du Cop Watching, patrouiller a plusieurs par groupes affinitaires, dans un quartier, jamais seul vous vous feriez immédiatement embarquer pour  » outrages « , être visible et en groupe, bien sur les flics n’aime pas ça, c’est sur mais aucune loi ne vous empêche de bous balader en groupe avec des camera vidéos

Toujours comme pour n’importe qu’elle action politique ou syndicale sortant du train train , des manifestations promenades , vous munir d’un numéro de téléphone d’un avocat , au besoin créer en parallèles de votre cop watch , des référents juridiques, ou faire votre balade de cop watching avec un-e avocat-e

N’ayez bien sur jamais d’alcool ( ou autre chose ) sur vous lors de vos balades , pas la peine de donner des arguments aux forces de répression

En cas d’interpellation Niez toujours si la police prétend que ce que vous faites est  » illégal  » , et dire COLLECTIVEMENT que vous êtes un groupe en balade, que vous faites partie d’un club Photo ( ou Vidéo ) et que vous faites des reportages sur la vie quotidienne de votre quartier de votre ville

A vous de créer les votres Maintenant.

Des sites sur les Cop Watch pour vous renseigner

http://www.copwatchla.org/

http://la.indymedia.org/news/2006/05/159540.php

http://www.berkeleycopwatch.org/

http://www.phoenixcopwatch.org/news.html

http://www.highvibrations.org/archive2/copwatch.htm

brochures juridiques indiquant comment créer un cop watch ( les lois répressives américaines ne sont pas si éloignées de celles qui existent dans la France de Sarkozy ) .

http://www.infoshop.org/inews/article.php
?story=04/04/06/6676838

http://aia.mahost.org/pro_copwatch.html

CONTRE LES ABUS DE POUVOIR RESISTONS

*1 l’équivalent américain du réseau no passaran en France