IL est temps de peser à Gauche !

Royal, la traitresse sociale-libérale

Bayrou, le patronat déguisé en nounours

Sarkozy, la démagogie au service des patrons

Le Pen, l’épouvantail facho-capitaliste

Les chouchous du patronat et des médias

Qu’il est confortable pour la droite de rivaliser avec une championne de la  » bourde  » qui se tire chaque jour une balle dans le pied en révélant bien souvent sa trahison ! Pour diviser et ramener à droite l’opposition anti-Sarkozy, qu’il est habile (mais un peu gros) de faire passer le pantin UDF de 6 à 25% dans les sondages… Comment obliger les victimes du saccage capitaliste à continuer à voter pour ses bourreaux ? Démagogie et pilonnage médiatique doivent faire croire à une rupture. Pour canaliser à droite le ras-le-bol populaire et saccager la vraie gauche, pour installer la peur dans le débat politique, quoi de mieux que le bon vieil allié fasciste ?

4 formes de capitalisme…

En appelant socialistes certains énarques fortunés, on peut mettre sur le libéralisme une étiquette  » de gauche « , et continuer de plus belle le saccage, tout en endormant les syndicats et les luttes sociales (comme Jospin, qui a encore plus privatisé que la droite) Derrière un discours tiède et mou, pour donner une impression de diversité, le centre de la droite essaie de camoufler sa participation active à tous les gouvernements RPR et UMP, et au final la même violence sociale (constitution européenne de Giscard…) En ligne directe avec son frère, n°2 du MEDEF, ce toutou des Etats-Unis ne camoufle la violence sociale que derrière une démagogie très pointue, aiguisée après des années de mensonges gouvernementaux, de traitrise politique et de provocations fascisantes. En manipulant le racisme et la peur, on peut diviser les travailleurs en opposant français et immigrés, et faire oublier que ce sont les mêmes patrons qui les exploitent. Sous le fascisme, les luttes sociales sont écrasées, l’exploitation n’a plus de limite.

… pour les mêmes objectifs

  • piller notre patrimoine commun (EDF, GDF, hôpitaux, Poste, péages …) pour que les services qui profitaient à tout le monde ne bénéficie plus qu’aux actionnaires,
  • renforcer la pression du chômage, des délocalisations pour pouvoir exploiter plus violemment les travailleurs et augmenter la pression policière et militaire pour étouffer les luttes sociales éventuelles,
  • ringardiser le syndicalisme, le communisme… ou tout autre moyen permettant aux travailleurs de se défendre collectivement pour pouvoir saccager tranquillement nos acquis sociaux (retraites, sécu, droit du travail…)

Que faire ?

Le peuple n’y gagne que quand il sait unir ses forces contre le capitalisme, en évitant les divisions que celui-ci entretient au sein de la vraie gauche pour mieux régner.

Ensemble, reprenons la main pour peser réellement à gauche !

le développement et la convergence des luttes sociales jusqu’à ce qu’elles deviennent irrésistibles